J'étais sous l'anesthésie de ton âme , abstème qui ne boit pas du vin, alcoolique de ta voix, ivrogne de chaque mot de tes lèvres, j'ai cru avoir connu l'amour, avoir mon cœur battre au fond . Ça semble comme un jour de printemps après des années d'hivers.
Le jour où je t'ai vu, je me perdis dans la labyrinthe de tes yeux, elle me semblaient mornes, mélancoliques malgré ses beautés.
Des jours après il s'avère que j'étais en plein raison, mais le dur, je sentais que je me noie dans les vagues de ton âme, je n'étais plus la même personne, j'avoue.
Mais J'étais toujours en tentative de cacher ce que je ressens, le bon destin ne m'aime pas et les déceptions sont amoureuses de moi.
Ce n'était pas mon choix d'éloigner, peut être c'est le vôtre, je ne cherche pas la pitié , mais écoute ! Le cœur exécuté sous la tribunal du temps depuis la dernière fois et le corps à l'instar d'un cadavre vivante.
tu sais La solitude me tue jusqu'à l'instant ,
je voulais rester devant toi, à te regarder des heures et des heures et oublier le temps ou l'arrêter. Mais c'est de la folie.
Tu me manque.